Le blogue de La Turquoise

Votre machine à laver s’est mise à couler et a inondé la chambre à coucher de votre propriétaire en dessous. Un incendie s’est déclaré dans votre cuisine ; vos armoires et une partie du mur y ont passé. Qui doit payer pour les travaux? Le locataire ou le propriétaire?

La dernière fois que vous avez appelé votre courtier afin d’obtenir le montant de votre prime d’assurance auto ou habitation, vous avez sûrement remarqué qu’il vous a posé plusieurs questions. Celles-ci permettent de bien évaluer votre situation et de vous offrir des protections qui répondent à vos besoins. Mais êtes-vous certain d’avoir tout dit à votre courtier?

Pluies torrentielles, tornade, tempête de vent, grêle… personne n’est à l’abri de tels phénomènes. Contrairement à ce que plusieurs croient, la plupart de ces événements, communément appelés Act of God, s’assurent.

Pas besoin de vous faire un dessin : la technologie a complètement changé nos vies. C’est vrai pour de nombreux aspects de notre quotidien, mais en particulier pour un enjeu qui nous tient particulièrement à cœur : la sécurité routière.

Plusieurs situations nous entraînent à passer de plus ou moins longues périodes de temps à l’extérieur de notre logis. Souvent, la sous-location se présente comme une bonne option pour pallier les dépenses reliées à ces moments d’absence. Mais entre sous-location à court terme, à long terme et cession de bail, il est parfois difficile d’y voir clair. On élucide ici les différences entre ces 3 options.

L’assurance repose sur le principe de la mise en commun des fonds de nombreux clients afin de compenser les pertes que certains peuvent subir. La prime est basée sur la probabilité que des événements se produisent et à quelle fréquence ils risquent de se produire.